Ah le joli mois de mai… les arbres en fleurs, les terrasses qui se remplissent, la visite régulière du soleil, et forcément, les jours fériés. Si ce mois empli de ponts et jours de congés est le préféré des salariés, pour nous freelances, l’attente est naturellement moins exaltante.
On ne va rien vous apprendre : l’un des nombreux avantages de notre statut est cette liberté de définir, nous-même, notre planning. Et c’est là que le tableau peut être moins lumineux. Certains freelances n’ont aucun mal à laisser leur ordinateur fermé les jours fériés et les week-ends, alors qu’il s’agit d’une tâche bien plus ardue pour d’autres. Au-delà des jours exceptionnellement chômés, comment apprendre à lever le pied et à ne pas culpabiliser ? La VBB team a des choses à vous partager !
Jour férié et freelance : une relation complexe
Le problème en disposant d’une grande liberté d’emploi du temps, c’est de parvenir à fixer ses propres limites. En interrogeant les freelances autour de nous, on en vient systématiquement à la même conclusion : l’organisation officie comme talon d’Achille d’une activité. Dans l’esprit commun, le freelance souffre souvent d’une réputation de paresseux privilégiant son temps à lui en dépit de son travail. Bien que ce cas de figure soit représentatif d’une catégorie de freelances, elle reste bien minime.